Comme convenu, nous avions décidé de nous rencontrer de nouveau. Après un premier échange qui m’avait quelque peu surpris – Massala me soulevant et me projetant dans la piscine du therme - j’avais décidé de ne prendre aucun risque et de bien préparer notre prochain affrontement. Je discutai avec mon partenaire habituel de lutte des combats auxquels j’avais assisté chez mon ami Massala et je lui fis la description d’un athlète de Thrace qui m’avait impressionné et qui semblait le lutteur favori de Massala. Toujours bien informé, mon partenaire me dit que ce Thrace s’entraînait avec un compagnon inconnu tôt le matin en bas d’une colline de Césarée. Peut-être était-ce Massala. J’en doutais compte tenu que je savais Massala peu intéressé par les sports de combat et qu’il n’avait présenté ce spectacle que pour me faire plaisir. Notre léger colle taillage n’ayant été qu’une façon de reprendre contact en se bousculant un peu. Toutefois, intrigué, je me rendis le lendemain au lieu dit : sous mes yeux se livrant une chaude lutte, je reconnus le Massala et le Thrace. C’est à peine si je pouvais distinguer qui, des deux protagonistes, était le maître, l’apprenti.
Je compris illico que Massala m’avait tendu un piège : il comptait bel et bien me vaincre à la lutte, sport qu’il savait que je pratiquais. Contrairement à ce qu’il m’avait affirmé, ce n’était pas uniquement par jeu, mais bel et bien, une tentative d’établir sa domination sur moi. Je n’en regardai pas plus et je revins chez moi où je m’entraînai sérieusement pendant de nombreux jours. Il voulait se battre, me vaincre – en me cachant son jeu - j’allais lui réserver quelques bonnes surprises.
Le matin convenu, je me présente dans la palestre du palais de Massala. Nous sommes seuls, l’air est frais. Massala se présente au centre de l’arène revêtu d’un courte tunique sanglée de lanières de cuir, l’habillement du fantassin romain. Le torse est nu : il projette l’allure d’un gladiateur romain. Sensiblement du même gabarit que moi, le soleil plombe sur son torse musclé. Tout indique qu’il s’est soigneusement préparé : ses muscles sont découpés au couteau, pas une once de graisse. Moi, je me débarrasse de ma djellaba, demeurant seul avec un léger pagne.
Nous sentons une certaine tension dans l’air, on se tourne autour, s’observant, prenant la mesure de l’autre. La meilleure défense étant l’attaque, je fonce sur le Massala pour le saisir à la taille. Massala m’attend de pied ferme, dès que je suis à portée de bras et de jambes, il m’assène un solide coup de genou à une cuisse, brisant net mon élan. Son poing refermé vise en plein le plexus solaire sous mes pecs. J’en perds presque le souffle. Puis, utilisant une main comme le tranchant d’une épée, il m’assène un coup franc sur les reins. Frappé en avant et en arrière, une jambe claudiquant, j’attrape un air ahuri pour un lutteur qui a son actif plusieurs combats.
Sans hésiter, Massala poursuit son travail de démolition : ébranlé par ces attaques nettes et précises, il glisse ses puissants bras sous mes aisselles et m’impose un douloureux double nelson à la tête. Ma nuque encaisse mal la douleur. Puis, il lâche prise, conserve un bras autour de ma tête, l’autre fouille entre mes jambes. Enfourché, Massala me soulève sur ses épaules, me secoue, me promène pendant quelques instants, puis, sans ménagements, il me projette au sol. Le premier round est terminé et je dois reconnaître que Massala a bel et bien établi sa puissance et sa domination. Pendant quelques instants, je songe à invoquer notre amitié pour mettre un terme à ce combat.
Confiant, sûr de lui, manifestement heureux de m’avoir démontré sa force et sa puissance physique en me contrôlant de main de maître, Massala ne veut pas en rester là. Étendu face contre terre, encore sonné par les événements, je sens deux mains fermes s’emparer de mes poignets, les étirant vers l’arrière pendant que mes épaules subissent la pression des pieds, Massala ayant visiblement l’intention de m’arracher mes pauvres bras du corps ! Sa force est incroyable, résultat d’un entraînement avec ce diable de Thrace. Je mange la poussière en râlant. Puis soudain, sans crier gare, une formidable masse musculaire s’abat sur mon dos : c’est Massala qui vient de rouler de tout son long sur ma pauvre carcasse, écrasant mon dos. Maintenant assis sur mes fesses, de ce qui en reste, Massala me saisit aux genoux et replie mes jambes dans une tordante prise du scorpion, sautillant sans cesse, ses fesses frôlant le bas de mon dos.
J’endure mon mal et le laisse s’exciter… Puis apercevant ses pieds de chaque côté de ma carcasse allongée au sol, je m’en empare illico, déséquilibrant le malfrat qui tombe sur le cul, les pattes en l’air surpris de ma manœuvre. Rapidement, je me retourne, me lève debout, ses chevilles entre mes mains, le tenant comme un poulet destiné à l’abattoir. J’applique mes pieds sur ses aisselles tout en étirant ses jambes vers le haut… Le coq chante de douleur… Je le maintiens dans cette position pendant de longues minutes, le relaxant de temps à autre en lui plantant un genou dans les reins. Autres chants de douleur pour le coq romain… Satisfait de l’entendre hurler, j’abandonne ses chevilles pour me saisir illico du haut de ses cuisses près des fesses où je l’enserre solidement de mes bras. Son dos dans le vide, le tenant entre mes bras, je tourne de plus en plus vite sur moi-même, étourdissant le Massala qui en perd la carte. Puis, je le laisse tomber, amolli, étourdi au sol.
Je saute sur lui, place mes jambes entre son corps, lui étire les bras en croix, signe que la défaite est proche. Malheureusement, dans mon envie d’en finir le plus vite, je ne m’occupe pas de ses jambes. Massala les ramène vers lui et en un clin d’œil, ses pieds se déposent sur mes pecs. Une violente poussée me propulse le haut du corps vers l’arrière, ma tête frappe le sol : Massala a renversé la situation, c’est maintenant lui qui est sur moi, , assis sur mon bassin, me saisissant les poignets et tentant de me river les bras au sol. C’est sans compter sur ma rage de vaincre cet ami retors qui m’a caché le fait qu’il s’entraînait à la lutte avec l’objectif de me vaincre et de m’humilier. Malgré ses mains qui me serrent les poignets comme des pinces, je parviens lentement à redresser le haut de mon corps. Nous voilà maintenant assis l’un contre l’autre, chacun forçant au max pour faire ployer l’autre. Massala est aussi déterminé que moi : nos bras étendus, nos torses se frôlant, nos sexes se touchant presque dans cette rude épreuve de force, nous relevons l’un et l’autre, nos bras toujours à hauteur d’épaules tentant le déséquilibre de l’autre. De force égale, aucun ne parvient à prendre le dessus, mais toujours nous maintenons l’effort. Soudain, Massala lâche prise et avant même que je ne contre-attaque pivote et se place derrière moi, plaçant ses bras dans ma fourche et tentant de me soulever en me faisant reposer sur ses biceps gonflés à bloc par l’effort titanesque qui nous oppose.
- Voilà une prise que toi et tes amis sodomites devez apprécier, me lance à l’oreille l’insolent Romain.
Je comprends l’allusion, mon sang ne fait qu’un tour et je m’empare de ses petits doigts que je tends vers l’extérieur.
- Si tu veux continuer dans ce sens-là Massala, attention je peux te briser.
Massala comprend qu’il n’a rien à gagner à me provoquer de la sorte sinon le combat prendrait une toute autre allure. Il continue néanmoins à vouloir me soulever. Un de ses bras s’enroule autour de ma tête, l’autre demeure entre mes jambes et bientôt je me retrouve allongé comme une planche entre ses bras. Il se dirige vers le banc, soulève une jambe et projette mon dos sur ses genoux en me brisant brutalement les reins sur son genou. Il me laisse tomber sur le banc, puis s’assoie sur moi en pressant mes bras sur mes pecs. Je suis bien placé pour constater l’intense satisfaction qui s’agite à l’intérieur de sa courte tunique sanglée de lanières de cuir.
- Je t’aurais crû plus résistant, me lance-t-il. Je garde le silence sur ces sarcasmes d’insolent Romain.
Je laisse plutôt mes jambes se rapprocher hypocritement du torse du malfrat. Puis soudain, je les ramène, croisés, sur les abs saillants de Malassa qui bascule sur le dos. Je m’empare de ses jambes que je saisis aux cuisses, les ouvrant violemment vers l’extérieur. Malassa hurle de douleur. Fou de rage, Massala se rassoie et tente une solide prise de tête. Maintenant debout, nous luttons de toutes nos forces : pendant qu’il tient ma tête, je parviens à lui saisir un pied et à le replier sur ses mollets. La manœuvre le déséquilibre et Massala lâche prise. C’est le moment que j’attendais : je pivote derrière lui, le saisit par la tête d’un bras et de l’autre, je l’enfourche. Maintenant pas de cadeau : sans hésiter je le soulève sur mes épaules, puis j’attends. La gravité fait son œuvre : le musclé Massala tire vers le bas, impossible pour lui de réagir tant qu’il se retrouve sur mes épaules. Je le sais, il le sait. Alors j’attends… que la gravité fasse son œuvre… Malassa s’amollit, perd de sa raideur… ses muscles, virés à l’envers, ne répondent plus. Moi, ma force est au max,, ma satisfaction aussi…. Puis lentement, mes bras abandonnent tête et entrejambe romaines et s’enroulent autour de la taille du gladiateur qui se retrouvent tête en bas et pattes en bas. Quelques coups de pilon de sa tête au sol assomment légèrement le Romain.
Cette carcasse parfaitement amollie, je la dépose au travers du banc : ses bras et sa tête plongent vers le sol, son torse s’appuie sur le banc, ses jambes pendouillent comme bras et tête. Je m’approche de Massala, m’empare de ses bras que je tire vers moi et me servant de ma verge, qui est sorti je ne sais trop comment de mon mince pagne, je trace avec ce stylet peu commun, un vigoureux V dans le dos de Massala : V pour ma victoire, V pour ma Victime, cet insolent et traître Massala qui croyait me vaincre à la lutte. Une encre blanche puisée à même mon encrier de lutteur signe sa défaite. Puis abaissant sa jupette de gladiateur, j’inscris sur ces fesses musclées mes initiales personnelles :
J B H, signe de mon incontestable victoire.
Pendant ce temps, conscient de ce qui lui arrivait, mais incapable de réagir, Massala se laisse faire. Ma signature au fer blanc inscrite dans sa chair, je remet debout le Massala, le tournai face contre moi et dans une ultime prise de l’ours le saisit à la taille, en le pressant dans une étreinte virile : pecs contrer pecs, abs contre abs et sexe contre sexe. Lentement, je soulevai le Massala, faisant glisser ses pecs sur les miens, puis ses abs sur mes pecs. Je constatai que ce frôlement viril ne laissait pas indifferent son stylet de lutteur qui s’agitait – inutile - entre ses jambes
- Alors Massala, la lutte t’excite autant ? Pourquoi ne pas me l’avoir dit avant ?
Incapable de contester cette affirmation qui me sautait aux yeux, Massala gémit un :
- Heu… Heu…
Je continuai de le soulever, le pressant en bas de ses fesses. Maitenant, c’était son membre viril qui sortait sa tête hors de la courte tunique, manifestant ainsi sa joie de se faire lever et vaincre par l’ami Judas.
Fier de cette victoire visible qui rendait heureux même mon opposant, je laissai retomber l’athlétique Massala au sol. Je m’assieds sur son ventre, ses jambes entre mes aisselles le forçant à prononcer les mots qui mettraient fin à ses souffrances.
Bientôt un « Ca va, tu m’as eu », tomba de ses lèvres. A cette amicale injonction, je lâche prise. Il a son comptant.
ladron fr (52)
7/27/2010 8:37 PMComme convenu, nous avions décidé de nous rencontrer de nouveau. Après un premier échange qui m’avait quelque peu surpris – Massala me soulevant et me projetant dans la piscine du therme - j’avais décidé de ne prendre aucun risque et de bien préparer notre prochain affrontement. Je discutai avec mon partenaire habituel de lutte des combats auxquels j’avais assisté chez mon ami Massala et je lui fis la description d’un athlète de Thrace qui m’avait impressionné et qui semblait le lutteur favori de Massala. Toujours bien informé, mon partenaire me dit que ce Thrace s’entraînait avec un compagnon inconnu tôt le matin en bas d’une colline de Césarée. Peut-être était-ce Massala. J’en doutais compte tenu que je savais Massala peu intéressé par les sports de combat et qu’il n’avait présenté ce spectacle que pour me faire plaisir. Notre léger colle taillage n’ayant été qu’une façon de reprendre contact en se bousculant un peu. Toutefois, intrigué, je me rendis le lendemain au lieu dit : sous mes yeux se livrant une chaude lutte, je reconnus le Massala et le Thrace. C’est à peine si je pouvais distinguer qui, des deux protagonistes, était le maître, l’apprenti.
Je compris illico que Massala m’avait tendu un piège : il comptait bel et bien me vaincre à la lutte, sport qu’il savait que je pratiquais. Contrairement à ce qu’il m’avait affirmé, ce n’était pas uniquement par jeu, mais bel et bien, une tentative d’établir sa domination sur moi. Je n’en regardai pas plus et je revins chez moi où je m’entraînai sérieusement pendant de nombreux jours. Il voulait se battre, me vaincre – en me cachant son jeu - j’allais lui réserver quelques bonnes surprises.
Le matin convenu, je me présente dans la palestre du palais de Massala. Nous sommes seuls, l’air est frais. Massala se présente au centre de l’arène revêtu d’un courte tunique sanglée de lanières de cuir, l’habillement du fantassin romain. Le torse est nu : il projette l’allure d’un gladiateur romain. Sensiblement du même gabarit que moi, le soleil plombe sur son torse musclé. Tout indique qu’il s’est soigneusement préparé : ses muscles sont découpés au couteau, pas une once de graisse. Moi, je me débarrasse de ma djellaba, demeurant seul avec un léger pagne.
Nous sentons une certaine tension dans l’air, on se tourne autour, s’observant, prenant la mesure de l’autre. La meilleure défense étant l’attaque, je fonce sur le Massala pour le saisir à la taille. Massala m’attend de pied ferme, dès que je suis à portée de bras et de jambes, il m’assène un solide coup de genou à une cuisse, brisant net mon élan. Son poing refermé vise en plein le plexus solaire sous mes pecs. J’en perds presque le souffle. Puis, utilisant une main comme le tranchant d’une épée, il m’assène un coup franc sur les reins. Frappé en avant et en arrière, une jambe claudiquant, j’attrape un air ahuri pour un lutteur qui a son actif plusieurs combats.
Sans hésiter, Massala poursuit son travail de démolition : ébranlé par ces attaques nettes et précises, il glisse ses puissants bras sous mes aisselles et m’impose un douloureux double nelson à la tête. Ma nuque encaisse mal la douleur. Puis, il lâche prise, conserve un bras autour de ma tête, l’autre fouille entre mes jambes. Enfourché, Massala me soulève sur ses épaules, me secoue, me promène pendant quelques instants, puis, sans ménagements, il me projette au sol. Le premier round est terminé et je dois reconnaître que Massala a bel et bien établi sa puissance et sa domination. Pendant quelques instants, je songe à invoquer notre amitié pour mettre un terme à ce combat.
Confiant, sûr de lui, manifestement heureux de m’avoir démontré sa force et sa puissance physique en me contrôlant de main de maître, Massala ne veut pas en rester là. Étendu face contre terre, encore sonné par les événements, je sens deux mains fermes s’emparer de mes poignets, les étirant vers l’arrière pendant que mes épaules subissent la pression des pieds, Massala ayant visiblement l’intention de m’arracher mes pauvres bras du corps ! Sa force est incroyable, résultat d’un entraînement avec ce diable de Thrace. Je mange la poussière en râlant. Puis soudain, sans crier gare, une formidable masse musculaire s’abat sur mon dos : c’est Massala qui vient de rouler de tout son long sur ma pauvre carcasse, écrasant mon dos. Maintenant assis sur mes fesses, de ce qui en reste, Massala me saisit aux genoux et replie mes jambes dans une tordante prise du scorpion, sautillant sans cesse, ses fesses frôlant le bas de mon dos.
J’endure mon mal et le laisse s’exciter… Puis apercevant ses pieds de chaque côté de ma carcasse allongée au sol, je m’en empare illico, déséquilibrant le malfrat qui tombe sur le cul, les pattes en l’air surpris de ma manœuvre. Rapidement, je me retourne, me lève debout, ses chevilles entre mes mains, le tenant comme un poulet destiné à l’abattoir. J’applique mes pieds sur ses aisselles tout en étirant ses jambes vers le haut… Le coq chante de douleur… Je le maintiens dans cette position pendant de longues minutes, le relaxant de temps à autre en lui plantant un genou dans les reins. Autres chants de douleur pour le coq romain… Satisfait de l’entendre hurler, j’abandonne ses chevilles pour me saisir illico du haut de ses cuisses près des fesses où je l’enserre solidement de mes bras. Son dos dans le vide, le tenant entre mes bras, je tourne de plus en plus vite sur moi-même, étourdissant le Massala qui en perd la carte. Puis, je le laisse tomber, amolli, étourdi au sol.
Je saute sur lui, place mes jambes entre son corps, lui étire les bras en croix, signe que la défaite est proche. Malheureusement, dans mon envie d’en finir le plus vite, je ne m’occupe pas de ses jambes. Massala les ramène vers lui et en un clin d’œil, ses pieds se déposent sur mes pecs. Une violente poussée me propulse le haut du corps vers l’arrière, ma tête frappe le sol : Massala a renversé la situation, c’est maintenant lui qui est sur moi, , assis sur mon bassin, me saisissant les poignets et tentant de me river les bras au sol. C’est sans compter sur ma rage de vaincre cet ami retors qui m’a caché le fait qu’il s’entraînait à la lutte avec l’objectif de me vaincre et de m’humilier. Malgré ses mains qui me serrent les poignets comme des pinces, je parviens lentement à redresser le haut de mon corps. Nous voilà maintenant assis l’un contre l’autre, chacun forçant au max pour faire ployer l’autre. Massala est aussi déterminé que moi : nos bras étendus, nos torses se frôlant, nos sexes se touchant presque dans cette rude épreuve de force, nous relevons l’un et l’autre, nos bras toujours à hauteur d’épaules tentant le déséquilibre de l’autre. De force égale, aucun ne parvient à prendre le dessus, mais toujours nous maintenons l’effort. Soudain, Massala lâche prise et avant même que je ne contre-attaque pivote et se place derrière moi, plaçant ses bras dans ma fourche et tentant de me soulever en me faisant reposer sur ses biceps gonflés à bloc par l’effort titanesque qui nous oppose.
- Voilà une prise que toi et tes amis sodomites devez apprécier, me lance à l’oreille l’insolent Romain.
Je comprends l’allusion, mon sang ne fait qu’un tour et je m’empare de ses petits doigts que je tends vers l’extérieur.
- Si tu veux continuer dans ce sens-là Massala, attention je peux te briser.
Massala comprend qu’il n’a rien à gagner à me provoquer de la sorte sinon le combat prendrait une toute autre allure. Il continue néanmoins à vouloir me soulever. Un de ses bras s’enroule autour de ma tête, l’autre demeure entre mes jambes et bientôt je me retrouve allongé comme une planche entre ses bras. Il se dirige vers le banc, soulève une jambe et projette mon dos sur ses genoux en me brisant brutalement les reins sur son genou. Il me laisse tomber sur le banc, puis s’assoie sur moi en pressant mes bras sur mes pecs. Je suis bien placé pour constater l’intense satisfaction qui s’agite à l’intérieur de sa courte tunique sanglée de lanières de cuir.
- Je t’aurais crû plus résistant, me lance-t-il. Je garde le silence sur ces sarcasmes d’insolent Romain.
Je laisse plutôt mes jambes se rapprocher hypocritement du torse du malfrat. Puis soudain, je les ramène, croisés, sur les abs saillants de Malassa qui bascule sur le dos. Je m’empare de ses jambes que je saisis aux cuisses, les ouvrant violemment vers l’extérieur. Malassa hurle de douleur. Fou de rage, Massala se rassoie et tente une solide prise de tête. Maintenant debout, nous luttons de toutes nos forces : pendant qu’il tient ma tête, je parviens à lui saisir un pied et à le replier sur ses mollets. La manœuvre le déséquilibre et Massala lâche prise. C’est le moment que j’attendais : je pivote derrière lui, le saisit par la tête d’un bras et de l’autre, je l’enfourche. Maintenant pas de cadeau : sans hésiter je le soulève sur mes épaules, puis j’attends. La gravité fait son œuvre : le musclé Massala tire vers le bas, impossible pour lui de réagir tant qu’il se retrouve sur mes épaules. Je le sais, il le sait. Alors j’attends… que la gravité fasse son œuvre… Malassa s’amollit, perd de sa raideur… ses muscles, virés à l’envers, ne répondent plus. Moi, ma force est au max,, ma satisfaction aussi…. Puis lentement, mes bras abandonnent tête et entrejambe romaines et s’enroulent autour de la taille du gladiateur qui se retrouvent tête en bas et pattes en bas. Quelques coups de pilon de sa tête au sol assomment légèrement le Romain.
Cette carcasse parfaitement amollie, je la dépose au travers du banc : ses bras et sa tête plongent vers le sol, son torse s’appuie sur le banc, ses jambes pendouillent comme bras et tête. Je m’approche de Massala, m’empare de ses bras que je tire vers moi et me servant de ma verge, qui est sorti je ne sais trop comment de mon mince pagne, je trace avec ce stylet peu commun, un vigoureux V dans le dos de Massala : V pour ma victoire, V pour ma Victime, cet insolent et traître Massala qui croyait me vaincre à la lutte. Une encre blanche puisée à même mon encrier de lutteur signe sa défaite. Puis abaissant sa jupette de gladiateur, j’inscris sur ces fesses musclées mes initiales personnelles :
J B H, signe de mon incontestable victoire.
Pendant ce temps, conscient de ce qui lui arrivait, mais incapable de réagir, Massala se laisse faire. Ma signature au fer blanc inscrite dans sa chair, je remet debout le Massala, le tournai face contre moi et dans une ultime prise de l’ours le saisit à la taille, en le pressant dans une étreinte virile : pecs contrer pecs, abs contre abs et sexe contre sexe. Lentement, je soulevai le Massala, faisant glisser ses pecs sur les miens, puis ses abs sur mes pecs. Je constatai que ce frôlement viril ne laissait pas indifferent son stylet de lutteur qui s’agitait – inutile - entre ses jambes
- Alors Massala, la lutte t’excite autant ? Pourquoi ne pas me l’avoir dit avant ?
Incapable de contester cette affirmation qui me sautait aux yeux, Massala gémit un :
- Heu… Heu…
Je continuai de le soulever, le pressant en bas de ses fesses. Maitenant, c’était son membre viril qui sortait sa tête hors de la courte tunique, manifestant ainsi sa joie de se faire lever et vaincre par l’ami Judas.
Fier de cette victoire visible qui rendait heureux même mon opposant, je laissai retomber l’athlétique Massala au sol. Je m’assieds sur son ventre, ses jambes entre mes aisselles le forçant à prononcer les mots qui mettraient fin à ses souffrances.
Bientôt un « Ca va, tu m’as eu », tomba de ses lèvres. A cette amicale injonction, je lâche prise. Il a son comptant.