Notre lutte de la veille nous avait permis de prendre connaissance de la force de l’autre. Le lendemain, comme prévu, nous nous retrouverions face à face, le plus fort devait vaincre, et je devais être celui-là. Judas m’avait montré sa capacité, et j’avais bien compris qu’il était un adversaire redoutable. Le match n’était pas gagné, mais j’étais confiant.
Après une nuit réparatrice, je commençais ma journée par une course d’échauffement. Quelques travaux de musculation pour préparer mon corps sans l’épuiser. L’affrontement devait avoir lieu en fin de matinée.
Judas était présent dans l’arène avant mon arrivée. Il semblait très concentré, et cette concentration m’impressionnait. De plus, il avait certainement fait quelques exercices quelques minutes auparavant car sa musculature était plus « évidente » que ce dont je me souvenais. Il était habillé d’un pagne de toile très court laissant apparaître la naissance de ses fesses (toujours aussi fermes) Nous étions seuls, aucun témoin, aucun arbitre. Dans un silence réciproque, nous nous approchâmes l’un de l’autre, chacun avec un regard dur essayait de déstabiliser l’autre. Il y avait à cet instant une grande tension. Durant quelques secondes, nous avons tourné l’un autour de l’autre. Soudain, sans rien laisser paraître, Judas se jeta sur moi me saisissant dans une prise de l’ours assez redoutable. Il était parvenu à coincer chacun de mes bras dans sa ceinture avant, et je ne parvenais pas à me dégager. Cette immobilisation ne présentait pas de risque, mais suffisait pour lui donner l’avantage. Je tentais vainement de me débattre pour échapper à cette prise, mais rien n’y faisait. Judas et sa stature imposante ne bougeait pas. Seul maître du combat à cet instant, il me projeta au sol violemment et se rua sur moi. Je me trouvais alors allongé sur le dos. Il enjamba mon torse, riva mes épaules au sol avec ses jambes, et me colla le visage dans son entrejambe, m’appliquant ainsi un redoutable étirement de la nuque, ainsi qu’un excitant étranglement. Nos 2 corps excités par la prise de l’ours qu’il m’avait appliqué, suivi de cette immobilisation allait au delà d’une simple lutte. J’étais sous le charme, et mon pagne ne cachait plus rien de cette excitation. Judas le remarqua sans mal. Il relâcha ma nuque et sourit, trop satisfait de m’avoir surpris dans cet état. Moins vigilant, il ne se méfiait que moins, et je profitais de sa baisse d’attention : d’un coup d’abdominaux, j’envoyais l’une de mes jambes dans son dos et parvenais à crocheter sa tête. Il bascula à son tour en arrière, et je verrouillais un ciseau à sa tête. La situation dangereuse qu’il m’avait infligée venait de basculer, et il gigotait maintenant entre mes genoux. Maître de la situation, je serrais et desserrais le ciseau cruellement. Judas frappait le sol. Il rageait de s’être fait surprendre de la sorte. Il était toujours allongé sur mon corps, ses jambes allongées sur mes épaules, sa tête coincée entre mes genoux. Moi, je parvins à redresser mon torse entre ses jambes. Quelle erreur ! Judas était un spectateur assidu de la lutte, et sut aussitôt profiter de sa position. A son tour, il parvint à verrouiller un ciseau autour de ma tête. Rapidement, il bascula notre étreinte, se recroquevilla, et je fus contraint de lâcher mon ciseau. Il venait de vaincre. J’étais en sale posture ! Doucement, je tentais de me dégager, mais Judas avait bien assuré sa prise, et à chacun de mes mouvement, il resserrait toujours mieux sa prise me réduisant toute liberté. Je commençais à perdre mon souffle. La défaite commençait à poindre. Judas s’était laissé surprendre une fois, par son manque de vigilance, cette fois, ce n’était pas la peine d’y compter. Soumis, déchu, je commençais à envisager l’abandon. Quelle humiliation !! A force de tentative pour faire casser la prise, nous étions maintenant : lui assis, et moi, a plat ventre devant lui avec toujours ma tête coincée entre ses jambes, et une fois de plus, le visage enfoui dans son pagne. Je ne voyais rien, je sentais juste sa virilité de plus en plus ferme contre mon visage. A cet appel, je réagis rapidement : je parvins à me mettre tant bien que mal à quatre pattes toujours coincé dans son ciseau. Je me redressai au prix d’un épuisant effort, et Judas se retrouva à mes pied, ses épaules rivées au sol. De mes mains libres, je parvins à détacher le nœud de ses jambes. Cette fois, enfin, j’étais en position dominante. Il me fallait lui en faire baver. Enragé par cette humiliante supériorité qu’il avait réussi à m’imposer, je le matraquais de quelques coup sur ses cuisses, il était maintenant plié de douleur, au sol. Soudain, au moment où j’allais lui infliger un nouveau coup, judas projeta sa main entre mes jambes, et me saisit les boules. Paralysé, je ne bougeai plus, lui donnant ainsi suffisamment de répit pour reprendre son souffle et une meilleure position. Il me tenait par les couilles, j’étais à sa merci. Il exerçait une pression indolore, mais suffisamment ferme pour me laisser comprendre qu’il n’hésiterait pas à me vaincre ainsi. Il se releva. Ayant lu la terreur sur mon visage, il éclata d’un rire sonore, et enchaîna sur un tour de bras me projetant une fois de plus à terre. J’étais à ses pieds, par chance, j’étais dans une position très favorable pour lui balancer un balayage : je n’hésitais pas. Judas s’écroula surpris, et je me jetais sur lui. La joute au sol fut rude. Nos 2 corps musclés en sueur au sol s’enlaçaient dans des efforts bruyants. Nous étions tous deux essoufflés, aucun d’entre nous n’envisageait maintenant de laisser la victoire à l’autre. Nos forces et nos ruses étaient semblables, mais il fallait un vainqueur. Je me méfiais tout de même de Judas. Il n’avait pas hésité à me prendre par les couilles, et je devais me méfier de cette sournoiserie : rien ne l’empêchait de recommencer. Je décidais donc de lui paralyser les mains. Une occasion en or se présenta : Alors que j’avais mon torse contre son dos puissant, je parvins au prix d’une partie de bras de fer à me saisir de ses 2 poignets. Je lui appliquais alors un surfboard et je tirais ses bras au maximum en arrière. Judas hurla de douleur. « Ca, c’est pour te faire payer ta traîtrise de tout à l’heure .. tu sais de quoi je parle ! » Je réalisais alors que notre joute amicale à la base prenait un tournant étrange. Il n’y avait plus de place pour l’amitié. Un combat réel se déroulait maintenant. Il fallait en finir vite au risque de gâcher notre amitié. N’était-ce pas déjà trop tard ? Maîtrisant ma proie, je plaçais lentement et fermement un bras autour de son cou, et basculais sa tête sur le coté avec mon autre main. Je serrais lentement mon étreinte, Judas compris le danger de la situation, il gigotait entre mes mains, et sentais lentement le sommeil l’envahir. Il comprenait que c’était trop tard pour réagir. Moi de mon coté, je blottis le corps de Judas contre le mien, appuyais encore ma prise. Au fur et à mesure que son corps perdait vie, je prenais plaisir à l’enserrer. Je restais ensuite quelques secondes, ma tête plaquée contre ses épaules puissantes, … j’étais parvenu à vaincre sa force, mais son charme m’avait vaincu ! A son réveil, il implora que je lui accorde une revanche. C’est avec … plaisir que j’envisageai déjà notre prochaine étreinte. ….
ladron fr (52)
7/27/2010 8:37 PMNotre lutte de la veille nous avait permis de prendre connaissance de la force de l’autre. Le lendemain, comme prévu, nous nous retrouverions face à face, le plus fort devait vaincre, et je devais être celui-là. Judas m’avait montré sa capacité, et j’avais bien compris qu’il était un adversaire redoutable. Le match n’était pas gagné, mais j’étais confiant.
Après une nuit réparatrice, je commençais ma journée par une course d’échauffement. Quelques travaux de musculation pour préparer mon corps sans l’épuiser. L’affrontement devait avoir lieu en fin de matinée.
Judas était présent dans l’arène avant mon arrivée. Il semblait très concentré, et cette concentration m’impressionnait. De plus, il avait certainement fait quelques exercices quelques minutes auparavant car sa musculature était plus « évidente » que ce dont je me souvenais. Il était habillé d’un pagne de toile très court laissant apparaître la naissance de ses fesses (toujours aussi fermes) Nous étions seuls, aucun témoin, aucun arbitre. Dans un silence réciproque, nous nous approchâmes l’un de l’autre, chacun avec un regard dur essayait de déstabiliser l’autre. Il y avait à cet instant une grande tension. Durant quelques secondes, nous avons tourné l’un autour de l’autre. Soudain, sans rien laisser paraître, Judas se jeta sur moi me saisissant dans une prise de l’ours assez redoutable. Il était parvenu à coincer chacun de mes bras dans sa ceinture avant, et je ne parvenais pas à me dégager. Cette immobilisation ne présentait pas de risque, mais suffisait pour lui donner l’avantage. Je tentais vainement de me débattre pour échapper à cette prise, mais rien n’y faisait. Judas et sa stature imposante ne bougeait pas. Seul maître du combat à cet instant, il me projeta au sol violemment et se rua sur moi. Je me trouvais alors allongé sur le dos. Il enjamba mon torse, riva mes épaules au sol avec ses jambes, et me colla le visage dans son entrejambe, m’appliquant ainsi un redoutable étirement de la nuque, ainsi qu’un excitant étranglement. Nos 2 corps excités par la prise de l’ours qu’il m’avait appliqué, suivi de cette immobilisation allait au delà d’une simple lutte. J’étais sous le charme, et mon pagne ne cachait plus rien de cette excitation. Judas le remarqua sans mal. Il relâcha ma nuque et sourit, trop satisfait de m’avoir surpris dans cet état. Moins vigilant, il ne se méfiait que moins, et je profitais de sa baisse d’attention : d’un coup d’abdominaux, j’envoyais l’une de mes jambes dans son dos et parvenais à crocheter sa tête. Il bascula à son tour en arrière, et je verrouillais un ciseau à sa tête. La situation dangereuse qu’il m’avait infligée venait de basculer, et il gigotait maintenant entre mes genoux. Maître de la situation, je serrais et desserrais le ciseau cruellement. Judas frappait le sol. Il rageait de s’être fait surprendre de la sorte. Il était toujours allongé sur mon corps, ses jambes allongées sur mes épaules, sa tête coincée entre mes genoux. Moi, je parvins à redresser mon torse entre ses jambes. Quelle erreur ! Judas était un spectateur assidu de la lutte, et sut aussitôt profiter de sa position. A son tour, il parvint à verrouiller un ciseau autour de ma tête. Rapidement, il bascula notre étreinte, se recroquevilla, et je fus contraint de lâcher mon ciseau. Il venait de vaincre. J’étais en sale posture ! Doucement, je tentais de me dégager, mais Judas avait bien assuré sa prise, et à chacun de mes mouvement, il resserrait toujours mieux sa prise me réduisant toute liberté. Je commençais à perdre mon souffle. La défaite commençait à poindre. Judas s’était laissé surprendre une fois, par son manque de vigilance, cette fois, ce n’était pas la peine d’y compter. Soumis, déchu, je commençais à envisager l’abandon. Quelle humiliation !! A force de tentative pour faire casser la prise, nous étions maintenant : lui assis, et moi, a plat ventre devant lui avec toujours ma tête coincée entre ses jambes, et une fois de plus, le visage enfoui dans son pagne. Je ne voyais rien, je sentais juste sa virilité de plus en plus ferme contre mon visage. A cet appel, je réagis rapidement : je parvins à me mettre tant bien que mal à quatre pattes toujours coincé dans son ciseau. Je me redressai au prix d’un épuisant effort, et Judas se retrouva à mes pied, ses épaules rivées au sol. De mes mains libres, je parvins à détacher le nœud de ses jambes. Cette fois, enfin, j’étais en position dominante. Il me fallait lui en faire baver. Enragé par cette humiliante supériorité qu’il avait réussi à m’imposer, je le matraquais de quelques coup sur ses cuisses, il était maintenant plié de douleur, au sol. Soudain, au moment où j’allais lui infliger un nouveau coup, judas projeta sa main entre mes jambes, et me saisit les boules. Paralysé, je ne bougeai plus, lui donnant ainsi suffisamment de répit pour reprendre son souffle et une meilleure position. Il me tenait par les couilles, j’étais à sa merci. Il exerçait une pression indolore, mais suffisamment ferme pour me laisser comprendre qu’il n’hésiterait pas à me vaincre ainsi. Il se releva. Ayant lu la terreur sur mon visage, il éclata d’un rire sonore, et enchaîna sur un tour de bras me projetant une fois de plus à terre. J’étais à ses pieds, par chance, j’étais dans une position très favorable pour lui balancer un balayage : je n’hésitais pas. Judas s’écroula surpris, et je me jetais sur lui. La joute au sol fut rude. Nos 2 corps musclés en sueur au sol s’enlaçaient dans des efforts bruyants. Nous étions tous deux essoufflés, aucun d’entre nous n’envisageait maintenant de laisser la victoire à l’autre. Nos forces et nos ruses étaient semblables, mais il fallait un vainqueur. Je me méfiais tout de même de Judas. Il n’avait pas hésité à me prendre par les couilles, et je devais me méfier de cette sournoiserie : rien ne l’empêchait de recommencer. Je décidais donc de lui paralyser les mains. Une occasion en or se présenta : Alors que j’avais mon torse contre son dos puissant, je parvins au prix d’une partie de bras de fer à me saisir de ses 2 poignets. Je lui appliquais alors un surfboard et je tirais ses bras au maximum en arrière. Judas hurla de douleur. « Ca, c’est pour te faire payer ta traîtrise de tout à l’heure .. tu sais de quoi je parle ! » Je réalisais alors que notre joute amicale à la base prenait un tournant étrange. Il n’y avait plus de place pour l’amitié. Un combat réel se déroulait maintenant. Il fallait en finir vite au risque de gâcher notre amitié. N’était-ce pas déjà trop tard ? Maîtrisant ma proie, je plaçais lentement et fermement un bras autour de son cou, et basculais sa tête sur le coté avec mon autre main. Je serrais lentement mon étreinte, Judas compris le danger de la situation, il gigotait entre mes mains, et sentais lentement le sommeil l’envahir. Il comprenait que c’était trop tard pour réagir. Moi de mon coté, je blottis le corps de Judas contre le mien, appuyais encore ma prise. Au fur et à mesure que son corps perdait vie, je prenais plaisir à l’enserrer. Je restais ensuite quelques secondes, ma tête plaquée contre ses épaules puissantes, … j’étais parvenu à vaincre sa force, mais son charme m’avait vaincu ! A son réveil, il implora que je lui accorde une revanche. C’est avec … plaisir que j’envisageai déjà notre prochaine étreinte. ….