L'épreuve de vérité (F)

skinkill (0)

9/05/2011 11:20 AM

Salut mec! Très beau fait vécu: on peut en connaitre la fin?

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skinkill (0)

9/05/2011 11:20 AM

Salut mec! Très beau fait vécu: on peut en connaitre la fin?

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ladron fr (52)

7/27/2010 8:27 PM

Il m’avait proposé de l’accompagner dans sa salle de sport pour faire une séance de muscu. Après un passage aux vestiaires, il m’avait invité à visiter les locaux et m’avait fait entrer dans la salle d’entraînement de karaté. Je m’étais attardé sur les panneaux d’affichage où quelques photos avaient été accrochées. C’est alors que deux types entrèrent d’un pas décidé. Marc se dirigea alors vers la porte, et je le suivi. Un peu surpris, je le vis fermer cette porte, et donner un tour de verrou. Il nous avait enfermé tous les deux avec ces deux types. Comme si l’affaire était entendue, je les vis enlever leur tee-shirt, et sautiller sur place en guise d’échauffement. Je regardais Marc en l’interrogeant du regard, et compris à son léger sourire ce qui se préparait : Nous allions nous frotter à ces types. Bien que moins lourds que nous, ils étaient tous les deux très bien bâtis. L’un des deux s’approcha du centre du tapis, attendant que Marc ou moi se présente à lui. Il semblait vif, il était blond et portait un short rouge de taille basse qui révélait des plaquettes de chocolat, à vrai dire, impressionnantes. Marc monta sa garde et s’approcha du gars. Il s’ensuivit une empoignade musclée, les 2 lutteurs, au mieux de leur forme, donnaient beaucoup pour faire chavirer l’autre. D’un balayage bien placé, le blond envoya Marc au tapis sans délicatesse. Marc était sur le dos et « le blond » se jeta sur lui très rapidement. Il parvint à lui placer un ciseau à la tête, Marc était coincé, et gigotait instinctivement espérant peut-être faire lâcher prise à son adversaire. Le blond souriait et regarda son partenaire satisfait. Marc frappait la cuisse de son adversaire, mais celui-ci répondait en serrant d’avantage. La rencontre avait tourné court. Doucement, et maîtrisant sa proie, le blond se redressa, il était maintenant assis sur le torse de Marc, et celui-ci n’avait devant son visage que les c. du type, il était clair que le type tirait du plaisir de cette situation. Clairement, Marc n’en prenait pas vraiment. J’étais sur le point d’intervenir pour cesser ce combat lorsque mon regard croisa celui de son partenaire. Je compris très vite que je n’avais pas intérêt à intervenir. Marc jurait, Mais parvint à se redresser et casser la prise. Il avait perdu son souffle. Le blond le faucha à nouveau, et tous les deux s’enlacèrent au sol chacun prenant à son tour le dessus. Le blond se leva et réussit à passer la main à son collègue. Marc me frappa aussi la main, c’était mon tour d’en découdre. Le type était plus agile et beaucoup plus léger que moi. Visiblement, il maîtrisait la lutte au sol, il m’y contraint très vite, un instant de maladresse et il saisit mes deux poignets. J’étais allongé sur le dos, il était assis derrière moi. Il plaça ses deux pieds sur mes épaules, et tira de toutes ses forces. La douleur me parût insoutenable. Je ne pus retenir un cri, Le blond encouragea son compagnon, je n’étais pas à la hauteur, il le compris aussi vite que moi, et au vu des réactions du blond, il en rajouta. Il avait le dessus, et fit une démonstration de sa supériorité. Mon quart d’heure fut atroce, rapidement, il enchaîna sur un étranglement arrière. Toutes mes tentatives pour me dégager étaient vaines. Non seulement il me maîtrisait, mais il maîtrisait le combat. Il aurait pu très facilement me faire abandonner quand il le désirait. Il n’en fit rien. Son but n’était pas de gagner rapidement cette manche, mais de prendre son pied sur les soumissions qu’il m’infligeait. Il luttait comme à l’entraînement. Je ne parvenais pas à lui poser le moindre problème. Depuis le bord du tapis, le blond jubilait. Alors que dans ses mains, je morflais sous une prise du dromadaire, je pouvais apercevoir Marc désespéré de m’avoir choisi comme partenaire, Le plaisir que le blond prenait à me voir manipulé ainsi se manifestait dans son short. Moi-même, malgré la douleur, je prenais aussi un certain plaisir que mon cycliste avait beaucoup de mal à camoufler. Visiblement désintéressé par mon niveau, le type me retourna sans problème pour conclure. Comme s’il avait fait ce combat des centaines de fois, il connaissait à l’avance toutes les réactions que je pouvais avoir, et réagissait chaque fois de manière à garder le contrôle avec le moindre effort. Il enfourcha mon torse avec un style plutôt blasé, et plaça un tombé sans ambiguïté. Pour bien affirmer cette victoire, il se redressa, me releva, il me ceintura par derrière, et avec une maîtrise parfaite bascula l’étreinte en arrière pour de nouveau bloquer mes deux épaules sur le tapis. J’étais vaincu, humilié, et léssivé, mon adversaire s’était « échauffé ». Je me relevai, sans oser relever les yeux, de peur de croiser le regard de Marc. Quelle rouste ! !, Quelle humiliation ! ! les deux gars se congratulaient, plus pour le spectacle qu’ils venaient de donner que pour la victoire trop facile qu’ils venaient de gagner. J’avais été minable. Si minable que Marc eu un doute sur ma combativité. Et comme si cette raclée n’était pas suffisante, le blond cru bon d’ajouter que c’était un combat à deux contre deux qu’ils attendaient. Le type qui s’était occupé de moi ne s’intéressait maintenant qu’à Marc. C’est vrai que Marc avait été beaucoup plus à la hauteur lors de sa rencontre avec le blond. Il décida d’en découdre avec lui pour la deuxième manche. Il échangea quelques mots avec son équipier, puis se présenta sur le tapis en fixant Marc d’un regard qui promettait du spectacle. Je fus surpris par la façon avec laquelle commença cette manche : J’aurais crû qu’il prendrait l’initiative du premier assaut. Les 2 lutteurs s’observèrent, Marc était prêt à bondir, mais son adversaire était très détendu : Il ne voulait pas attaquer. Je ne compris que plus tard ce qu’il désirait : Il souhaitait tester sa supériorité. Pour cela il attendait que Marc le place dans une situation difficile pour tenter de s’en tirer. D’adversaires, nous étions devenus de simples lutteurs pour entraînement. Je ne crois pas que Marc s’en soit rendu compte, Il crû simplement que son adversaire était imprudent. Marc attaqua donc son adversaire en se jetant à ses pieds, pour provoquer une rencontre au sol. Il avait remarqué lors de notre affrontement, qu’il était très habile au sol. Lui-même se sentait plus à l’aise en combat au sol qu’en combat debout. Ainsi, Marc réussit à placer son adversaire sur le ventre, rapidement, il se saisit de ses 2 pieds, plia une jambe du type, puis replia l’autre par dessus, de telle sorte qu’il pouvait aisément faire levier et provoquer ainsi une soumission dont la douleur se situait au niveau des genoux. Il affirma sa prise, et agrippa le menton de son adversaire. Il avait la situation bien en mains. Son désir de vaincre était tel, qu’il ne laissait même pas son adversaire réaliser le péril de cette situation. Visiblement, il faisait mal. Ce n’était pas une évaluation de techniques, mais bel et bien une joute .. « au plus fort ! » En l’occurrence, c’était Marc. J’étais fier de lui, et je crois que je devais forcer autant que lui pour que mon tortionnaire frappe le sol ou hurle de douleur un abandon. Il avait voulu être en difficulté, il y était, et pour de bon. Le blond de son coté s’était jeté à plat ventre face à son équipier, et l’encourageait. Il n’en revenait pas ! Comment avait-il pu se laisser avoir aussi rapidement ? Pourquoi si peu de combativité ? C’est à ce moment là que je compris que le blond était l’élève de son équipier, et qu’il n’arrivait pas à comprendre que son « maître » puisse se retrouver sur le point d’être vaincu par un adversaire que le blond avait sû affronter sans trop de mal. Il ne comprenait pas et voyait la victoire leur échapper. Marc, témoin aussi du regard désemparé du blond se rendit compte qu’il était en train de vaincre. Estimant enfin que la situation le méritait, le type entra enfin dans le combat, et manifesta enfin une défense. L’élan d’optimisme de Marc fît baisser son attention, son adversaire affuté aux techniques de lutte sut en profiter, il donna un coup de reins, son corps tourna entre les jambes de Marc, et se retrouva sur le dos, avec Marc assis sur ses abdos. Il enchaîna toujours très rapidement, et d’un habile coup de jambes, crocheta la tête de Marc. La situation s’inversa : Marc était sur le dos, et son adversaire au dessus de lui, mais cisaillé entre les jambes puissantes de Marc (Pour avoir moi même expérimenté le ciseau de Marc, je savais ce qu’il endurait). Le blond avait regagné son coté, et son regard confiant, présageait une issue rapide, et sans bavure. Il n’était tout de même pas vainqueur, Marc maintenait son ciseau. Il comprenait que ce ciseau était son seul point de supériorité. Son adversaire à genoux devant lui essayait vainement de dénouer les cuisses de Marc, il frappait ces cuisses, mais Marc ne cédait rien. Finalement à bout, et toujours sous l’étreinte, il redressa un genou, et la douleur fit lâcher Marc dans la seconde : Il avait conservé un genou à terre, et avait dréssé l’autre de manière à le mettre exactement dans l’axe de la colonne vertébrale de Marc . L’effet avait été immédiat, Marc avait tout lâché. Satisfait, et avec un flegme arrogant, il rejoint son coéquipier pour lui laisser la suite du combat. Marc, vexé par cette réaction se releva, et plutôt que d’affronter le blond - qui aurait dû être son nouvel adversaire- il se jeta à nouveau sur l’autre type. Visiblement trop habile, celui-ci, satisfait de la performance qu’il venait de réaliser préféra « achever » Marc. D’un tour de hanches, il le projeta à terre, le fixa un instant sur le dos. Puis, très méthodiquement, plutôt que de finir sur ce tombé, il s’empara d’une cheville de Marc, plaça l'autre jambe dans un ciseau, et exerça une prise qui écartelait littéralement mon compagnon. Désireux d'apprendre à Marc le respect, il força sur ses appuis sans ménagement. Sous la douleur, Marc hurla son abandon. Malgré une meilleure combativité que moi, il avait été soumis à la défaite. Fin de la deuxième manche : 2-0, la leçon amère !

La rencontre avait viré au fiasco. Retour penaud aux vestiaires ... Cela semblait inévitable. Pas pour nos adversaires. Alors que Marc et moi nous dirigions humiliés et vaincus vers la porte, le blond s’interposa devant moi, et me jeta un regard provocateur. Il voulait son combat, son maitre le soutenait dans cette démarche puisqu’il imposa à Marc de reprendre sa place, et de s’y asseoir. Ayant identifié en moi un adversaire potentiel pour son poulain, il souhaitait que je m’y colle. Marc, bléssé dans son orgueil par la rapide soumission dont il avait été l’objet n’était pas en état de discuter ou d’intervenir. Il laissa le contrôle à nos tortionnaires, et je me sentis alors seul face aux 2 « maîtres du ring ». Aucune ambition de victoire ne m’animait, je ne désirais que rejoindre les vestiaires, et fuir cette humiliation. Le blond par contre, voulait son combat, sa victoire, et son plaisir ! !

Face à cette situation, je fus contraint de répondre. Je pris alors sans la moindre motivation, la posture de la garde. Le double vainqueur estima que son poulain n’avait pas montré sa valeur. J'empoignai alors le blond en le maintenant sous un bearhug. Sa riposte, fut efficace : il déséquilibra l'étreinte, et je tombais sur le coté entraînant le blond dans ma chute. Comme mes bras étaient occupés par la prise que je portais, je ne pus me retenir, et le choc de la chute me fit horriblement mal au coude. Je lachais mon adversaire sous la douleur. Profitant de cet instant de répit, il se faufila derrière moi, me saisit les 2 poignets, et plaça un double nels avec ses jambes, je découvrais cette prise avec stupéfaction. Visiblement, il avait été à bonne école, son Maître le regardait avec satisfaction. Il joua de cette posture un long moment, trop long, à mon goût, mais outre la douleur, j'affichais aussi une méchante érection. A part le blond qui était dans mon dos, tout le monde pouvait témoigner : je prenais vraiment beaucoup de plaisir. Lassé de cette soumission, et moi-même incapable de contrer, (je ne connaissais pas cette prise avant), le blond se décala sensiblement, et me plaça une méchante prise de tête à la mode "prise en 4". C'est à ce moment qu'il vit que je triquais à mort. Cet enfoiré me jetta un regard très cruel. Il empoigna ma bite d'une main ferme, et commença à me branler doucement. Je compris immédiatement la victoire qu'il voulait gagner. Ce salopard m'avait tellement excité, que quelques mouvements suffirent, j'abandonnais toute la purée dans mon short, laissant une victoire de plus à nos challengers ! 3-0 Humiliation totale, Marc ne comprenait plus ce qu'on faisait là, nos adversaires ne jubilaient même plus. Ils nous avaient écrasé. Pensant qu'ils avaient terminé de nous mettre la rouste, nous étions préssés d'aller nous rhabiller. Nous n'en avions pas encore terminé. En vainqueurs, ils décidaient de notre sort : Un grand chelem, ils voulaient une totale victoire : j'avais été vaincu et humilié par les 2 gars, Marc ne s'était rendu que sous l'assat du maître. Il restait au blond à vaincre Marc. Cela aurait pû être difficile pour lui, mais lors de son affrontement avec le maître, il avait été tellement radical qu'il s'était légérement blessé. Toutefois, il accepta la rencontre ... de toute façon, il n'avait pas le choix. Le blond s'inquiétait déjà de cette rencontre. Il avait bien décelé que Marc pouvait facilement le coincer. De mon coté, malgré l'humiliation, j'étais presque satisfait d'en avoir terminé. Dès que le blond eut repris son souffle, il se présenta devant Marc. Il lui lança un regard très dédaigneux. Le maître s'imposa en arbitre. Il donna le signal de lm'assaut. La première emprise fut rapide et violente. De rage, Marc faucha le blond, au sol, l'empoignade fut très vive. Aucun des 2 lutteurs n'osait attaquer. Chacun se contentait de se dégager des situations dangereuses. Alors que Marc prenait un appui pour se relever, la douleur persistante que lui avait laissé le maître en souvenir lui fit prendrfe un temps d'hésitation. Le blond sauta sur l'occasion. Son maître l'avait déjà brieffé. La faiblesse de Marc, c'était ses appuis, ses jambes. Ce qui suivit fut très rapide. Le blond s'acharna sur les jambes de Marc, et lui plaça une prise en 4 : La prise de souffrance par excellence, une des plus foudroyantes, de celle qui poussent à hurler dès qu'on comprend ce qu'il se passe : Marc hurla. Le blond tripait, il tenait sa victoire, il frappait le sol de bonheur, mais ne lâcha rien : Marc n'avait pas cédé. En arbitre, le maître exigea que Marc donne la victoire. Son honneur était en jeu. Au prix d'une souffrance in tolérable, il tenait le coup. Tous les 3 souhaitions qu'il abandonne. Le blond commençait à douter de la qualité de sa clé. Il recontrôlait ses appuis, bandait ses jambes à fond, la prise était terrible.

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